Evey Wiiliam's
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Date d'inscription : 18/01/2009
Localisation : Là où mes pieds me mènent je suppose ...
 |  Sujet: Evey William's  Dim 18 Jan - 1:10 | |
| .o°Votre personnage°o. Nom: William's
Prénom: Evey
Age: 18 ans
Son Statut: Ange
Son orientation sexuelle: Hétéro'
Trois choses qu'il aime: Les framboises, Marcher sur la plage, Le bruit de la pluie
Trois choses qu'il déteste: Le vide, L'amour ( Parce que "C'est pour les mazos !" ), Les jeux de hasard
Son caractère: Tu es intelligente jolie Evey, tu es intelligente, et ça se voit. Peut etre pas asociable, mais tu passe pourtant le gros de ton temps le regard posé sur les pages manuscrites de tes bouquins. Tu t' es toujours crue différente, mais ça, tu ne comprend pas vraiment pourquoi. Tu a d' ailleur choisit la discrétion et la solitude plutot que l' extravagance et la popularité. Mais tu t' y plait, malgré que tu manque de confiance en toi. Tu hésite, tu réfléchie trop, t' es comme ça toi Evey, faire quelques chose sur un coup de tete, que très rarement, car c' est bien trop souvent que ton cerveau complique tout et finit par te faire renoncer. Je rigole seule, là devant ma feuille de papier blanc, mais je te revois, reine de maladresse, aimant a malchance, marchant sur ton lacet en sport juste au moment où enfin (!) on te passe le ballon. C' est marrant Evey, ne te braque pas comme ça ! Mon dieu ce que tu es tetue ! Tu sais, les gens disent que tu as trop d' imagination, ce qui te pousse souvent a douter des gens. Pourtant, on raconte aussi que tu es naive, et qu' avec quelqu' un un minimum bon acteur, tu pourra croire pas mal de chose. Sensible, oui, sensible et peu demonstrative de tes sentiments. Il parait que tu tiens ça de de ton père, quoi qu' il en soit, tu reste discrete, tu tente de te fondre dans la masse, mais tu le dit toi meme, t' es différente Evey, différente.
Son apparence: Je vais te dire, moi je trouve que tu ressemble a une sorte de vampire. Le genre a la peau super blanche, et au regard ténébreux et plein de mystères. Hey, le prend pas mal Evey ! Moi je trouve ça jolie. Ca fait prédateur, et puis c'est fascinant. Tu sais, il existe des gens comme ça, dont le regard traduit la pensée. Et toi t'es de ceux là. Sous tes pupilles brunes se cache ta vie, la vrai Evey en quelque sorte. C'est d'ailleur la raison pour laquelle tu fuis le regard des gens. Parce que tu le sais, qu'en cherchant un peu, les gens seront que t'es pas si heureuse que tu ne veux le montrer. Ouais, tu le sais que tes yeux ils peuvent te trahir. Les choses habituels ? Ba, pas très grande, plutôt mince. Eléguante je dirais. Ouais, dans ta démarche surtout. T'es une princesse buveuse de sang en fait.
Son histoire:
Je vais vous raconter une histoire, je vais te raconter mon histoire. Cette histoire débute donc il y a 18 ans, a San Francisco, ma ville natale. Non, je ne suis pas encore là, mais toute histoire a un début, et mon début, c'est celle, ma mère. Elle est jolie, extraordinairement belle meme, et de nombreux hommes s'amusaient a lui faire la cours, sans résultats. Car les perles les plus belles sont toujours les plus difficiles a avoir, pas vrai ? Elle étudiait dans un petit lycée, elle était brillante. La fille sage, un peu trop même, le nez plongé toujours dans ses bouquins. Et puis, il y avait ce garçon, trop beau, trop apprécié des autres filles. Mais les garçons populaire, c'est bien connu, ce qu'ils aiment, c'est les filles trop sages, les inaxessibles. Elle devint alors son défi. Il se plia a tous ses désirs, la raccompagnait chez elle, portait ses bouqins, ... Trop exessif, mais elle commencait a l'apprécier, et réciproquement, son jeu était devenu une obsession. Un an et quelques journées de plus passèrent, et leur complicité grandissait, jusqu'elle ce qu'elle ne fléchisse sa garde, et craque pour son regard angélique. Cette longue nuit d'amour, j'en fut la conclusion. Mais ils étaient jeunes, et les enfants, c'est pirent qu'un précipice, tu tombe dedans, t'y reste. Pourtant, mon père demanda ma mère en mariage, pour suivre la tradition, pour ne pas que je vienne au monde sans qu'ils ne soient unis a jamais. Elle accepta.
Moi je hurlais, je hurlais a n'en plus pouvoir contre cet homme qui brandissait mon corp nu tel un trophée ! Mais je ne suis pas un trophée ! Et qu'il vire ses mains, où je hurle encore plus forte. Mes premieres secondes sur terre, mes premiers cris. Pourtant, cette femme en face de moi, blottit dans les bras de son mari, elle souriait. Cette femme devint plus tard celle que j'apellais "maman", celle que j'aimais, qui me faisait rire, et que me serrait contre elle quand j'allais mal. Lui, je n'en fut jamais très proche. Il avait changé, il était devenu quelqu'un d'important, quelqu'un tenu par le travail. Moi, il me voyait comme la continuité de sa ligné, rien de plus. Mais ma mère elle l'aimait, alors moi aussi, je tenais un peu a lui.
J'étais une enfant assé impulsive, et plutôt solitaire. Je m'amusais de rien, j'étais un peu casse cou. Je partais a la découverte des foret, grimpant aux arbres pour surplomber le monde, sautant dans les flaques dos avec mes nouvelles robes, parce que tachées de boue, elle me ressemblait plus. Et puis, a 13 ans, ma vie a changée. D'abord, ma mère est tombé gravement malade. Le genre de maladie dont ont ne se remet pas. j'ai tout perdue. Mes repères, ma lumières, j'avancais a taton dans un couloir trop noir. Mon père aussi, il était éffondré. Elle lui manquait, énormément, peut etre même plus qu'a moi, et pour la premiere fois, il m'a prit dans ses bras. Il m'a dit qu'on passerait a autre chose, tous les deux, ensemble, qu'il m'abandonnerais pas. Je lui faisais confiance, j'avais confiance en ses larmes, parce qu'elles ressemblaient aux miennes. Alors dans les semaines suivante, il m'a dit de preparer mes affaires, ce que j'ai fait. Je l'ais suivis, et on a atterit ici, dans ce pays dont je ne connaissait que ce que l'école avait voulu m'en apprendre. Pas grand chose. Le Japon c'était trop grand pour moi, et du haut de mes treize ans, j'y comprenais rien.
Et c'est ainsi qu'a dix huit ans, je mourrue. Tragique pas vrai ? Je sortais de l'université, mon diplôme en main vers une superbe vie ! Jusqu'a ce qu'une voiture ne me percute alors que je rentrais chez mon père. Durant plusieurs jours, je restais inconsciente, entre la vie et la mort, pour finalement m'éteindre. là haut, on traita de mon sort, et n'ayant jamais rien fais de mal, on décida de m'offrir une seconde chance pour rattraper ma vie d'humaine.
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